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Mapping (1995-97). Aerial (2002). Deepfield (2000). Still Time (2001) for flûte and electronics. Melt (1994). Symbiont (2002). Silk to Steel (2005). Cortex (2004-05). DVD-Audio with several versions: Surround 5.1, Stéréo and Stéréo (Dolby Digital). “Composition is, for me, like a giant puzzle in which the overall shape is fixed but the pieces and the picture itself change and undergo subtle transformations as one is constructing it. The computer tools that I use, enable me to fix the edges – the large scale rhythmic and harmonic movement and other global parameters, whilst also allowing me to improvise with these materials at the surface level. Using these tools allows me to manipulate and play with sound – like a child with a chemistry kit – reveling in the novel colours and explosive concoctions that result.” Mathew Adkins. “Mathew Adkins is a composer, performer and lecturer in electroacoustic music. He read music at Pembroke College (Cambridge, UK) and then, in 1993, became a member of the BEAST (Birmingham ElectroAcoustic Sound Theatre). He studied electronic music with Jonty Harrison and then Simon Waters. It was at the age of 22 that he first came to international attention with the electroacoustic works Melt and Clothed in the Soft Horizon. Between them these works were awarded the Stockholm Electronic Arts Award (Sweden), the Résidence Prize (Bourges, France) and the Grand Prix of Musica Nova (Prague, Czech Republic). He has since won more than a dozen international prizes for his work, which has been performed and broadcasted throughout Europe, USA, Canada, Australasia, China, and Asia. He has worked in a number of prestigious European studios, including EMS (Stockholm, Sweden), Ina-GRM and IRCAM (Paris, France), Césare (Reims, France), and Heinrich Strobel Studio (Freiburg, Germany). In the early 1990s, Adkins concentrated predominantly on acousmatic concert music but has since diversified into composing electronic works for contemporary dance, multimedia works, and electroacoustic music. What he is particularly drawn to in writing such works is the collaborative process that evolves between the composer and artist-performers. The most notable of these have been Neurotransmission (1998), an hour-long acousmatic dance score written for Wayne McGregor and Random Dance in 1998, Still Time (2001) for the flutist Alejandro Escuer, Symbiont (2002) a multimedia collaboration with Miles Chalcaft, and nights bright daies (2003) for the Ictus piano and percussion quartet; the latter premiered in June 2004 at the Festival Agora No 7 at IRCAM (Paris, France).”
Mapping (1995-97). Aerial (2002). Deepfield (2000). Still Time (2001) pour flûte et traitement. Melt (1994). Symbiont (2002). Silk to Steel (2005). Cortex (2004-05). Il s’agit d’un DVD-Audio en plusieurs versions: Surround 5.1, Stéréo et Stéréo (Dolby Digital). “Pour moi, la composition est comme un puzzle géant dont la forme générale est déterminée, mais dont les pièces et l’image subissent des transformations subtiles en cours de réalisation. Les outils informatiques que j’utilise me permettent de définir les bords – les macro-mouvements harmoniques et rythmiques, ainsi que d’autres paramètres globaux -, tout em me permettant d’improviser avec ces éléments dans le détail. L’utilisation de ces outils me permet de manipuler le son, de jouer avec lui – comme un enfant avec une trousse de chimiste – me délectant des nouvelles couleurs et des mélanges explosifs ainsi créés.» Mathew Adkins. “Mathew Adkins est compositeur, interprète et conférencier de musique électroacoustique. Il a étudié la musique au Pembroke College (Cambridge, RU) et ensuite, en 1993, est devenu membre du BEAST (Birmingham ElectroAcoustic Sound Theatre). Il a étudié la musique électronique avec Jonty Harrison et Simon Waters. Il a fait ses premiers pas sur la scène internationale à 22 ans, avec Melt et Clothed in the Soft Horizon. Ensemble, ces deux œuvres électroacoustiques lui ont valu le Stockholm Electronic Arts Award (Suède), le Prix Résidence (Bourges, France) et le Grand Prix du Musica Nova (Prague, République tchèque). Depuis, Adkins a remporté plus d’une douzaine de prix internationaux. Ses œuvres ont été diffusées et interprétées en Europe, aux États-Unis, au Canada, en Australasie, en Chine et en Asie. Il a travaillé dans plusieurs studios européens prestigieux, dont l’EMS (Stockholm, Suède), l’Ina-GRM et l’IRCAM (Paris, France), Césaré (Reims, France) et l’Heinrich Strobel Studio (Fribourg, Allemagne). Au début des années 1990, Adkins s’est surtout tourné vers la musique acousmatique. Depuis, il a élargi ses intérêts et compose maintenant de la musique électronique pour la danse contemporaine, des œuvres multimédia et de la musique électroacoustique. C’est le processus de collaboration qui se développe entre le compositeur et l’artiste-interprète qui l’attire dans ces formes. Ses œuvres majeures dans ce domaine sont Neurotransmission (1998), une œuvre acousmatique d’une heure écrite pour le chorégraphe Wayne McGregor et le Random Dance; Still Time (2001), pour le flûtiste Alejandro Escuer; Symbiont (2002), une collaboration multimédia avec Miles Chalcaft; et nights bright daies (2003), pour le quatuor de piano et percussion Ictus. Cette dernière a été créée en juin 2004, lors du Festival Agora No 7 à l’IRCAM (Paris, France).