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Cinquième album solo de ce percussionniste norvégien installé en Espagne. Un bel exemple de ces musiciens improvisateurs qui ont réduit leur set pour privilégier l’évènement sonore au détriment d’une expressivité exacerbée. Se concentrant principalement sur une grosse caisse orchestrale avec de multiples corps sonores, Ingar Zach en solo ou avec ses différentes formations telles que “Mural”, “Dans les arbres” ou “Huntsville”, participe à la fabrication d’un nouvel espace sonore.
“Le stanze” est son cinquième solo et a été enregistré dans son studio et dans une chapelle. Le jeu est plus intense que prévu, notamment sur des sections très métalliques. L’espace se révèle au fur et à mesure de la construction d’objets sonores plus ou moins complexes. L’horizontalité stratifiée conclue le tout.
Très bel ouvrage !
Cinquième album solo de ce percussionniste norvégien installé en Espagne. Un bel exemple de ces musiciens improvisateurs qui ont réduit leur set pour privilégier l’évènement sonore au détriment d’une expressivité exacerbée. Se concentrant principalement sur une grosse caisse orchestrale avec de multiples corps sonores, Ingar Zach en solo ou avec ses différentes formations telles que “Mural”, “Dans les arbres” ou “Huntsville”, participe à la fabrication d’un nouvel espace sonore.
“Le stanze” est son cinquième solo et a été enregistré dans son studio et dans une chapelle. Le jeu est plus intense que prévu, notamment sur des sections très métalliques. L’espace se révèle au fur et à mesure de la construction d’objets sonores plus ou moins complexes. L’horizontalité stratifiée conclue le tout.
Très bel ouvrage !